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Les mouvements de Résistance

Les différents groupes de résistance
à Marseille


 

La Résistance désigne l'ensemble des actions de partisans menées en Europe contre l'Allemagne de Hitler et l'Italie de Mussolini au cours de la Seconde Guerre Mondiale, et les mouvements politiques et militaires clandestins qui y prirent une part prépondérante. La Résistance est le fait d'abord d'un état d'esprit d'opposition aux régimes totalitaires qui dominent alors l'Europe, puis elle s'organise en réseaux dont les modalités d'action différeront selon les sensibilités et les situations nationales, mais qui, tous, convergent vers un seul but : abattre le Reich nazi et l'État fasciste.


Comme tous ces résistants ne partent de rien, il leur faut partout innover, aussi les débuts sont-ils souvent très humbles : gestes modestes et spontanés ou rassemblements populaires, par exemple à Marseille, le 27 mars 1941, devant la plaque commémorative de l'assassinat du roi de Yougoslavie, laquelle vient de déclarer la guerre au Reich; exécution de consignes lancées de bouche à oreille ou propagation du « V » de la victoire tracé sur les murs...


 

La Résistance Chrétienne


 

La Seconde Guerre Mondiale bouleversa profondément le diocèse de Marseille, dans sa structure urbaine, sa population, dans le cœur de ses fidèles et la défaite frappa d'un douloureux étonnement les Marseillais comme le reste des Français.


Mais l'arrivée au pouvoir du Maréchal Pétain en rassura le plus grand nombre, à commencer par l'évêque Mgr Jean Delay, qui était un ancien combattant de la Grande Guerre.


Lorsque le Maréchal vint à Marseille, il l'accueillit solennellement à la cathédrale. Mais peu à peu une sourde inquiétude s'empara de la population. Les prisonniers ne revenaient pas, la nourriture devenait rare.


Au fur et à mesure que l'horizon s'assombrissait, la fréquentation des églises augmentait. Si les catholiques d'Action française et les membres du P.P.F. de Simon SABIANI continuaient à approuver bruyamment le régime, d'autres commençaient à prendre leurs distances et certains nouaient des contacts avec les premiers mouvements de Résistance.

 

Me Jules-Xavier Perrin diffusa de l'automne 1940 jusqu'à octobre 1942, une feuille clandestine, La voix du Vatican, qui publiait les textes les plus forts de Radio Vatican. Ensuite, il contribua à la diffusion du Témoignage Chrétien, créé à Lyon, par le Père Chaillet.

 

Étant donné que, si nous développons sur le mouvement, nous dépassons le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver plus d'informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.


 

Le Front National


Étant donné que le mouvement n'existait pas encore en 1940, et que cela dépasse le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver des informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

La Résistance Arménienne


Étant donné que le mouvement n'existait pas encore en 1940, et que cela dépasse le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver des informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

Les F.T.P.-M.O.I.

 


Si l'on rencontre des étrangers dans toutes les formes de résistance - réseaux, maquis... -, il y a une formation spécifiquement composée d'étrangers : les F.T.P.- M.O.I, c'est à dire les Francs-Tireurs et Partisan de la Main d'Oeuvre Immigrée.


La M.O.I. a vu le jour en 1923, à l'initiative du parti communiste français, soucieux d'étendre son influence parmi les millions de travailleurs arrivés en France, fuyant leur pays d'origine aussi bien pour des raisons économiques que politiques. La tendance, parmi les immigrés, à s'organiser dès leur arrivée en France, est un fait généralisé et bien compris des gouvernements et des partis politiques.

La M.O.I., sigle de trois lettres, qui signifie Main d'Oeuvre Immigrée, compte désormais parmi les grands courants de la résistance française et jouit d'un prestige qui s'explique par l'ampleur de son engagement et l'acharnement répressif des polices française et allemande réunies. Un acharnement qui se manifestera aussi, au cours des années 1942-1943, sur le plan politique dont l'enjeu est d'une importance primordiale pour l'occupant et Vichy : enrayer la montée de l'esprit de résistance parmi les Français en essayant de leur faire croire que " l'Armée de libération est l'armée du crime " composée de " bandits étrangers et des Juifs à la solde de l'étranger. "


La reconstitution des structures dans la clandestinité de la M.O.I., a suivi de près celles d'avant-guerre. S'y est ajoutée une formation spécifique, les Francs-Tireurs et Partisans (FTP-MOI). Organisée au départ sur le principe d'un " détachement par groupe ethnique ", les pertes subies ont obligé la direction à former des groupes mixtes où Juifs, Italiens, Arméniens et Espagnols de nationalité étrangère, ou naturalisés français luttèrent et moururent fraternellement unis.


 

La Résistance Anarchiste

 


Le 3 septembre 1939, Jean-René Saulière, du groupe anarchiste de Bordeaux, entre dans la clandestinité. Il restera caché à Bordeaux pendant cinq mois, le temps de se procurer et de falsifier le livret militaire d'un ami réformé, Marcel-André Arru. Recherché pour insoumission, il rejoindra Marseille et constituera un groupe anarchiste clandestin, qui réussira jusqu'à août 1943, à effectuer une propagande libertaire. Une activité, assez importante, est menée pendant ces trois années: "un tract double page (2lx27) intitulé : " Aux travailleurs des bras et de la pensée "; une affiche (3lx24) contre le fascisme et les dictatures ; l'affiche : "Mort aux Vaches " ; la brochure " Les coupables ", (14x2l), 40 P. ; le journal La Raison (16x25), 12 pages ; chacun d'eux tirés à 1000 exemplaires ou plus. Il faut y ajouter " l'officine de faux papiers " qui permettait une aide sérieuse à des camarades et non camarades en difficulté avec les autorités françaises ou occupantes. "

 

Étant donné que, si nous développons sur le mouvement, nous dépassons le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver plus d'informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.


 

Les F.F.I.

 

Étant donné que le mouvement n'existait pas encore en 1940, et que cela dépasse le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver des informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

Les groupes armés de la Résistance

 

 

Les F.T.P.F.

 

 

Les Francs-Tireurs et Partisans Français, créés à l'initiative de Charles Tillon, les F.T.P.F. sont directement liés au Parti Communiste Français, mais ouverts aux non-communistes. Les F.T.P.F., dont les M.O.I. (Main d'Oeuvre Immigrée), pour des raisons de sécurité, s'organisent en groupes armés composés de 3 à 7 hommes. Ces groupes seront durement touchés dès 1941 par la répression de l'occupant et de Vichy.

 

 

L'A.S

 

 

Étant donné que le mouvement n'existait pas encore en 1940, et que cela dépasse le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver des informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

Les Groupes Francs

 

 

Cependant, les Groupes Francs des M.U.R. (Mouvements Unis de la Résistance) seront, eux, dans l'action immédiate.

Les Groupes Francs avaient été constitués bien avant l'Armée Secrète (A.S.) : le recrutement de leurs membres est assez hétéroclite, et bien souvent ses émérites, même si la majorité d'entre eux proviennent de Liberté ou de Combat, sont également d'obédience communiste ou tout simplement n'appartiennent à aucun mouvement politique.

 

Étant donné que, si nous développons sur le mouvement, nous dépassons le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver plus d'informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

 

L'O.R.A.

 

 

Étant donné que le mouvement n'existait pas encore en 1940, et que cela dépasse le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver des informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

 

Les différents groupes de résistance

En Zone Sud

 

 

Combat

 

 

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Libération-Sud, un grand mouvement de Résistance

 

 

A l’automne 1940, alors qu’une partie de la France est sous occupation allemande et que le maréchal Pétain a entamé la collaboration avec l’Allemagne nazie, des hommes et des femmes, enseignants pour beaucoup, décident de se regrouper pour résister.

 

Étant donné que, si nous développons sur le mouvement, nous dépassons le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver plus d'informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

Comment Libération-Sud devient-il un important mouvement de Résistance Intérieure ?

 

Le mouvement Libération-Sud naît autour d’Emmanuel d’Astier de la Vigerie à Clermont-Ferrand à partir de l’automne 1940. Ce journaliste rassemblait des militants de passage dans cette ville près de Vichy, où se concentrent de nombreux opposants à Pétain. Leurs échanges donnent naissance à la « Dernière Colonne », une organisation dont l’objectif est de faire de la propagande contre Vichy.

Décimé par une arrestation, ce noyau renaît à Lyon autour du journal Libération, ce qui oblige le groupe à affiner leur position idéologique et à améliorer leur organisation. Le mouvement est lancé et prend le nom de Libération-Sud au printemps 1941. L’ouvrage de Laurent Douzou donne une multitude de détails passionnants pour illustrer par le récit l’ensemble de l’étude.

 

Nous voulons

(Source : http://museedelaresistanceenligne.org/media2479-Tract-Nous-voulons#zoom-tab)

 

Le document ci-dessus est une affiche, parue dans Libération, reprenant les extraits d’une déclaration commune du Général De Gaulle et des mouvements de la Résistance. En voie d’unification avec les autres mouvements de Résistance, Libération-Sud est une organisation patriotique qui lutte pour le retour de la souveraineté nationale.

Elle met en avant les principes républicains. En appelant au vote, notamment des femmes, elle marque son attachement aux valeurs démocratiques et à la solidarité internationale. Ancrée à gauche, Libération-Sud soutient les travailleurs et le Parti communiste.

 

Étant donné que, si nous développons notre réponse à cette question, nous dépassons le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver plus d'informations concernant ce sujet, dans l'ANNEXE n°3.

 

Mais dans quels domaines Libération-Sud agit-il ?

 

Libération-Sud est un mouvement qui fait circuler ses valeurs par son journal. Il milite pour le rassemblement de tous les mouvements, ce qui aboutit au programme du CNR en 1943. Parallèlement, le mouvement coordonne des opérations militaires de sabotage, participe aux opérations de renseignement militaire et organise les maquis qui se forment dans les régions.

 

Par quelles actions le mouvement s’oppose-t-il à la politique de Vichy et au nazisme ?

 

Toutes les actions contre l’occupant remettent en cause la politique de Vichy, fondée sur l’acceptation de l’armistice et la collaboration. L’idéologie de Vichy est combattue par la propagande du mouvement qui rejette le STO. Les manifestations du 14 Juillet ou du 11 Novembre sont des moments de mobilisation. Les militants sont appelés à lutter activement contre la politique antisémite de Vichy en protégeant les Juifs.

 

Liberation sud 1

 

 

Francs-Tireurs

 

 

Dès 1940, un petit cercle d'hommes venus d'horizons divers (radicaux, syndicalistes de gauche...) fonde, à Lyon, « France Liberté » et distribue des tracts anti-pétainiste. Fin 1940, Jean-Pierre Lévy s'impose, se procure une ronéo, et à l'automne 1941, sort « le premier numéro de « Franc-Tireur ».

 

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Les M.U.R.

 

 

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Les différents groupes de résistance
En Zone Nord

 

 

L'O.C.M.

 

 

L'Organisation civile et militaire est fondée en à Paris, par la fusion de l'Équipe Française d'Organisation du Redressement (EFOR) de l’industriel Jacques Arthuys (le « groupe de la rue de Logenbach ») et la Confédération des travailleurs intellectuels animée par Maxime Blocq-Mascart.

 

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Les C.D.L.L.

 

 

Ceux de la Libération est créé dès le 2 août 1940, par Maurice Ripoche, Maurice Nore et Yves Chabrol qui sont voisins dans le quartier Denfert-Rochereau (Paris XIVe). Le mouvement va tirer son nom des premières lignes du manifeste que Ripoche et ses amis rédigent dans les premières semaines : Français, nous serons ceux de la Libération (diffusé en octobre 1940).

À ce premier groupe, se joignent rapidement Henri Pascal, Jacques Ballet, ainsi que Pierre Beuchon (officier de réserve dans les chars en 1940) ainsi que René Leduc (alias Henri) qui est responsable du réseau évasion, permettant l'exfiltration des aviateurs et soldats alliés vers l'Espagne puis l'Angleterre Le mouvement comptera bientôt plusieurs milliers de membres en zone occupée.

 

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Les C.D.L.R.

 

 

Dans une première phase, C.D.L.R. est issu de Combat Zone Nord.

 

Étant donné que, si nous développons sur le mouvement, nous dépassons le seuil chronologique du sujet, vous pouvez retrouver plus d'informations concernant ce mouvement, dans l'ANNEXE n°3.

 

 

 

Le Comité de coordination de Zone Nord

 

 

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